» Les cajoleries sirupeuses de la vie peuvent être d’un si écœurant dégoulinant qu’on est souvent tenté de se prendre pour une perle rare. Un condensé solidifié de nectar. Une dragée au miel que la planète entière, pour soulager ses maux de gorge récurrents, aurait tout intérêt à se caler sous la langue et à laisser fondre longtemps. Mais la dragée a des pépins. De gros grains de poivre désagréables. Et là, on ne mange pas une choucroute William Saurin, pas moyen, ces boulets de canon miniatures, de les pousser préventivement sur les bords de l’assiette. Votre douceur au miel, ils sont dedans… « 


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